Écrivaine de talent, Marie Cosnay vient de voir son travail de traductrice récompensé : elle a reçu le 18 novembre 2017 le Prix Bernard-Hoepffner pour sa traduction intégrale des 12 000 vers latins d’Ovide composant Les Métamorphoses.
Ce prix vient couronner un engagement littéraire de longue haleine, puisque plus de dix ans auront été nécessaires à Marie Cosnay pour mener à bien cette traduction qui « relève d’une forme de folie ».
Le Prix Bernard-Hoepffner (anciennement Prix Laure-Bataillon Classique) est décerné depuis 2003 par la Ville de Saint-Nazaire avec le concours de la MEET (Maison des écrivains étrangers et traducteurs). Il a été remis le 18 novembre dernier lors des 15es rencontres « Meeting » à Saint-Nazaire. À cette occasion José Carlos Llop et son traducteur Edmond Raillard se sont vus quant à eux remettre le Prix Laure-Bataillon pour le livre Solstice, paru aux éditions Jacqueline Chambon.
Pour en savoir plus sur la traduction des Métamorphoses : vous pouvez écouter ou réécouter Marie Cosnay sur France Culture qui lui a consacré une heure dans l’émission « Par les temps qui courent » le 24 octobre. Elle y évoque les joies, les surprises et les contraintes propres aux vers d’Ovide et « …le plaisir de traduire, que je comprends comme un plaisir de mieux lire ».
Pour écouter ou podcaster l'émission, c'est ici.
Et pour lire la présentation des Métamorphoses sur le site des éditions de l'Ogre, c'est là.
Le Prix Bernard-Hoepffner (anciennement Prix Laure-Bataillon Classique) est décerné depuis 2003 par la Ville de Saint-Nazaire avec le concours de la MEET (Maison des écrivains étrangers et traducteurs). Il a été remis le 18 novembre dernier lors des 15es rencontres « Meeting » à Saint-Nazaire. À cette occasion José Carlos Llop et son traducteur Edmond Raillard se sont vus quant à eux remettre le Prix Laure-Bataillon pour le livre Solstice, paru aux éditions Jacqueline Chambon.
Pour en savoir plus sur la traduction des Métamorphoses : vous pouvez écouter ou réécouter Marie Cosnay sur France Culture qui lui a consacré une heure dans l’émission « Par les temps qui courent » le 24 octobre. Elle y évoque les joies, les surprises et les contraintes propres aux vers d’Ovide et « …le plaisir de traduire, que je comprends comme un plaisir de mieux lire ».
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