Jeudi 16 novembre, à la librairie La Mauvaise réputation, la rencontre avec Lise Chapuis et Giosuè Calacuira a réuni un auditoire réduit… mais captivé.
Bernard Daguerre, qui devait animer la rencontre a dû y renoncer au dernier moment suite à un sérieux problème de santé (nous lui adressons tous nos vœux de prompt rétablissement). Auteur et traductrice ont donc improvisé un dialogue – chaleureux, complice et non dénué d’humour – autour de l’œuvre très riche du grand écrivain sicilien, et en particulier des deux titres juste parus aux éditions Notabilia : Urbi et Orbi et Malacarne.
Thématiques, sources d’inspiration, style et flux narratif, leurs échanges furent passionnants, ponctués par une lecture à deux voix – et en deux langues – d’extraits choisis.
On retiendra l’incipit de Urbi et Orbi, magnifique et intrigant : « On nous ordonna prêtres et nous fûmes perdus. » Et cette petite notation, en passant, de Giosuè Calaciura : « Palerme est une sorte de laboratoire linguistique qui métabolise les influences multiples, françaises, grecques… »
Vous n’étiez pas à Bordeaux jeudi soir ? Retrouvez l’auteur et sa traductrice ce week-end au Festival Littératures européenne Cognac !
Thématiques, sources d’inspiration, style et flux narratif, leurs échanges furent passionnants, ponctués par une lecture à deux voix – et en deux langues – d’extraits choisis.
On retiendra l’incipit de Urbi et Orbi, magnifique et intrigant : « On nous ordonna prêtres et nous fûmes perdus. » Et cette petite notation, en passant, de Giosuè Calaciura : « Palerme est une sorte de laboratoire linguistique qui métabolise les influences multiples, françaises, grecques… »
Vous n’étiez pas à Bordeaux jeudi soir ? Retrouvez l’auteur et sa traductrice ce week-end au Festival Littératures européenne Cognac !