Maison de la Traduction en Nouvelle-Aquitaine

L'Intranquille n° 07

  • Auteur(s) :

    Revue
  • Traducteur(s) :

    Traductions de l'italien par : Philipe Di Meo (poèmes de Bartolo Cattafi et Andrea Zanzotto), Camille Bloomfield (poèmes de Patrizia Valduga), Anna Serra (poèmes d'Elena Aiezza, Vivian Lamarque, Guido Gozzano)
  • Date de publication :

    5 oct. 2014
  • Genre :

    Revue littéraire
  • Nombre de pages :

    87 pages
  • Prix :

    15,00 €
Nous avons commencé des dossiers par pays depuis le n° 6 (poètes argentins). Voici à présent des poètes italiens, hommes et femmes, que 3 traducteurs Ph. Di Meo, C. Bloomfield et A. Serra ont librement choisis, attirés par la sensualité et la rigueur de leur écriture.

S'y ajoutent l'espagnol José Bergamin (1895-1983) et le poète allemand Mikael Vogel déjà publié dans le numéro précédent et dont le travail se tourne vers les animaux et leur défense.

Comme à chaque livraison, place à de nouveaux invités : 4 auteurs sont publiés pour la première fois dans l'Intranquille.

Le(s) genre(s) d'après : ce thème continue, vu les catégories nombreuses qu'il recouvre. Il croise ici les préoccupations d'un ensemble d'artistes américains ayant exposé conjointement à Chicago et aux Beaux-arts de Bourges (résidence de Caroline Picard qui a dirigé les travaux), sur la question le non-humain ou ghost nature, titre du livre bilingue produit : les animaux, les plantes, là où pour une fois, l'Homme n'est pas au centre.

Décentrer donc....

Jean-Claude Pirotte, romancier, poète et critique s'éteignait en mai.
Marie Bronsard lui rend hommage.

Des critiques concernent Cattafi, Klée, Chassefière, Doyen.

Et Jean-Pierre Bobillot poursuit sa chronique numérotée, commencée dans la revue Action Poétique :voix, etc., avec 3 livres, de Courtoux, Lavrille, Chevrier.

Une nouvelle rubrique : sept directeurs de revues sont interrogés sur leur pratique.

Le Journal de Michel Valprémy termine l'année 1991 : nous n'en sommes qu'au début, cependant un choix s'impose, l'original atteignant presque 3000 pages jusqu'à la disparition de l'écrivain en 2007.

En Histoire littéraire, notre passion pour le XIXe siècle : après le journal de la mère de Lamartine, celui du valet de Maupassant, et une étude concernant l'américain Ford Madox Ford voici la suite et la fin de Flaubert vu par les Goncourt.

[présentation de l'éditeur]
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