
Le Merle de la ville captive
Voir sur le site de l'éditeur
Réserver dans une librairie indépendante
Le Merle de la ville captive
Édition bilingue arabe-français
Pas d'eau dans le robinet il n'a pas trouvé de l'eau dans le réfrigérateur
Il a trouvé de la bière (il s'est rasé la barbe avec sa mousse une barbe enivrée a poussé)
« La poésie de Moncef Mezghanni est authentique et par là même unique. N'en déplaise aux ignares qui rient quand le poète récite ses vers, mais le rire, qui n'est que "du mécanique plaqué sur du vivant" (Bergson), est une solution, voire la solution devant les drames et les tragédies que l'Homme vit au quotidien. Ne soyons donc pas naïfs ; l'ancien Directeur de la Maison de la Poésie de Tunisie n'est ni un poétereau ni un clown. Ceux qui s'y connaissent en poésie, chez nous en Tunisie, partout dans le Monde arabe et aux quatre coins du monde, peuvent en témoigner : ce que Moncef Mezghanni a réalisé, depuis la parution de Grappes de la joie vide, en 1981, jusqu'à la parution de Ici la Tunisie, le Journal en 2012, en passant par Graines et affections, en 2010, relève non seulement de la prouesse poétique mais encore de la révolution. »
Aymen Hacen
Pas d'eau dans le robinet il n'a pas trouvé de l'eau dans le réfrigérateur
Il a trouvé de la bière (il s'est rasé la barbe avec sa mousse une barbe enivrée a poussé)
« La poésie de Moncef Mezghanni est authentique et par là même unique. N'en déplaise aux ignares qui rient quand le poète récite ses vers, mais le rire, qui n'est que "du mécanique plaqué sur du vivant" (Bergson), est une solution, voire la solution devant les drames et les tragédies que l'Homme vit au quotidien. Ne soyons donc pas naïfs ; l'ancien Directeur de la Maison de la Poésie de Tunisie n'est ni un poétereau ni un clown. Ceux qui s'y connaissent en poésie, chez nous en Tunisie, partout dans le Monde arabe et aux quatre coins du monde, peuvent en témoigner : ce que Moncef Mezghanni a réalisé, depuis la parution de Grappes de la joie vide, en 1981, jusqu'à la parution de Ici la Tunisie, le Journal en 2012, en passant par Graines et affections, en 2010, relève non seulement de la prouesse poétique mais encore de la révolution. »
Aymen Hacen