Les Joies du printemps
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Les Joies du printemps
« Cet ouvrage est une traduction inédite de la romancière britannique naturaliste, Mary Webb (1881-1927), qui devint notamment connue pour son ouvrage Sarn (1924), qui devint un succès en librairie, et pour lequel elle obtient le Prix Femina.
Les Joies du printemps rassemble un groupe d’essais publiés en 1917, centrés sur l’appréciation de la nature, écrits dans l’idée d’aider “les personnes fatiguées et blessées dans la bataille de la vie”.
Ces essais constituent un témoignage de l’empathie d’une femme, non seulement pour la beauté, la couleur, la forme, la délicatesse et la majesté du monde naturel, mais aussi pour ses semblables qui souffrent.
Aînée d’une fratrie de six, Mary Webb est dès l’enfance fascinée par les paysages qui l’entourent. Sa maladie lui permet de voir le monde avec plus de tendresse et ainsi percevoir plus clairement les priorités de la vie.
La jeune Mary développe une perception extraordinaire des moindres détails de la nature, qui se reflète dans la richesse de sa poésie et de sa prose. Elle présente d’ailleurs dans tous ses romans la nature comme un personnage mystérieux et puissant.
Dans ce recueil, l’autrice britannique développe les thématiques du pouvoir de guérison de la nature ; de la joie du mouvement, de la musique et des parfums ; du rire ; de la beauté des formes, des ombres et des couleurs. Elle ravive l’espoir en s’adressant directement au lecteur. »
[présentation de la maison d'édition]
Les Joies du printemps rassemble un groupe d’essais publiés en 1917, centrés sur l’appréciation de la nature, écrits dans l’idée d’aider “les personnes fatiguées et blessées dans la bataille de la vie”.
Ces essais constituent un témoignage de l’empathie d’une femme, non seulement pour la beauté, la couleur, la forme, la délicatesse et la majesté du monde naturel, mais aussi pour ses semblables qui souffrent.
Aînée d’une fratrie de six, Mary Webb est dès l’enfance fascinée par les paysages qui l’entourent. Sa maladie lui permet de voir le monde avec plus de tendresse et ainsi percevoir plus clairement les priorités de la vie.
La jeune Mary développe une perception extraordinaire des moindres détails de la nature, qui se reflète dans la richesse de sa poésie et de sa prose. Elle présente d’ailleurs dans tous ses romans la nature comme un personnage mystérieux et puissant.
Dans ce recueil, l’autrice britannique développe les thématiques du pouvoir de guérison de la nature ; de la joie du mouvement, de la musique et des parfums ; du rire ; de la beauté des formes, des ombres et des couleurs. Elle ravive l’espoir en s’adressant directement au lecteur. »
[présentation de la maison d'édition]