Tête à claques
« Cette nouvelle a été écrite à Great Neck en mars 1924 et achetée 1750 $ par le Woman’s Home Companion, qui l’a publiée dans son numéro de février 1925. Elle a connu un très grand succès. Elle a été sélectionnée, en 1927, pour une anthologie de l’humour. Un film en a été tiré, en 1929.
On doit au grand Francis Scott Fitzgerald, amoureux des personnages à fleur de peau, une figure hilarante de grand timide passionné par le théâtre et qui s’en nourrit, seul réconfort dans une vie morne de salarié nocturne : son exaspération lors d’une représentation théâtrale le conduit à un geste inconsidéré et réflexe qui lui vaudra le tribunal car il a osé coller une baffe en public à une dame franchement insupportable. Cela lui vaudra l’écoute amusée d’un juge qui veut essayer de comprendre comment un personnage aussi falot peut ainsi céder à un emportement.
Elle témoigne avec brio de l’humour débridé de Fitzgerald qui aime aussi les anti-héros, surtout ceux qui se réveillent soudain d’une vie léthargique. »
[présentation de la maison d'édition]
On doit au grand Francis Scott Fitzgerald, amoureux des personnages à fleur de peau, une figure hilarante de grand timide passionné par le théâtre et qui s’en nourrit, seul réconfort dans une vie morne de salarié nocturne : son exaspération lors d’une représentation théâtrale le conduit à un geste inconsidéré et réflexe qui lui vaudra le tribunal car il a osé coller une baffe en public à une dame franchement insupportable. Cela lui vaudra l’écoute amusée d’un juge qui veut essayer de comprendre comment un personnage aussi falot peut ainsi céder à un emportement.
Elle témoigne avec brio de l’humour débridé de Fitzgerald qui aime aussi les anti-héros, surtout ceux qui se réveillent soudain d’une vie léthargique. »
[présentation de la maison d'édition]